A Bizet
Y’avait l’enfer vert/
On y voit des jardins.
Y’avait l’enfer vert/
Y’avait pluS de lumière.
Y’avait l’enfer vert/
Nous sommes aussi des voisins !
Depuis la maison,
on imaginait le jardin.
Koni-faire et Feu Yu
nous troublaient la vue.
Depuis la coupe,
moins de vent mais plus de bruit.
Moins d’oiseaux aussi et du béton.
On prend la voiture jusqu’au cimetière.
C’est déjà retrouver nos repères.
On laisse la voiture près de la réserve,
La nature y est juste apparue.
Les chemins d’herbe serpentent
Entre les parcelles qui les protègent.
On revient à la maison,
Les oiseaux chantent encor’ à l’unisson.